UN AMOUR SACRÉ DEPUIS DES DÉCENNIES

Derrière un élevage il y a des personnes

Je m’appelle Natacha, je porte ce tendre projet mais cela n’engage pas que moi. Il y a aussi mon époux et mes filles qui vivent cette passion féline à mes côtés et contribuent avec amour au bien-être de nos fidèles.

Mon histoire avec le sacré de Birmanie remonte à l’enfance

Dans les années 80, ma grand-mère avait un élevage en Normandie et présentait ses chats en exposition. J’entendais souvent parler du Cat Club à ce moment-là mais je portais bien plus d’attention aux nombreuses boules de poils qui se prélassaient sur son lit.

Un joli cadeau nommé Babylonne

Un jour ma grand-mère offrit à maman une jolie birmane blue point dont nous étions complètement en admiration et en affection… Elle était si gentille et s'occupait si bien de ses petits. C’est donc dans nos Alpes-de-Haute-Provence que maman, très attentionnée avec ses animaux, débuta son petit élevage. Des années de bonheur pour moi enfant entourée de ce chat au caractère en or.

Et puis un jour, la naissance d’une petite seal point qui se distinguait. Elle me suivait partout et adorait se blottir contre moi. La rencontre était si belle que maman ne put la proposer à l’adoption. Ionie et moi c’était pour la vie…Ma fidèle Ionie a bien vécu et donné naissance à de jolis chatons. Elle a connu la naissance de notre fille aînée en 2005 et lui a fait profiter de ronron thérapie alors qu’elle était encore dans mon ventre. Quand Ionie nous a quitté, ont suivi alors de longues années sans la présence d’un chat à la maison.

"MA MADELEINE DE PROUST"

2020, mes souvenirs birmans remontent à la surface comme une secousse

Cela s'accompagne d'une forte détermination à refaire une place au Birman dans ma vie et à revivre des moments heureux comme ceux accrochés à mon cœur. Je repense alors à Ionie, ma fidèle birmane seal point, qui si petite m'avait choisie et n'avait d'yeux que pour moi...

Pourquoi à ce moment-là ?

Cela peut faire sourire... quelques jours auparavant j'écoutais une séance d'hypnose intitulée "Dormir comme un chat". Les mots du thérapeute et les ronrons en fond sonore ont, j'en suis certaine aujourd'hui, ouvert la porte de mes souvenirs birmans. Mon mari plus cartésien, et qui portait pour autant beaucoup d’affection pour ma Ionie, s'étonnait de mon engouement.

Ainsi donc, écoutant mon instinct, je partis à la recherche de ma « Madeleine de Proust »…